Conséquence directe de la sécheresse les abeilles produisent beaucoup moins de miel. Sans fleurs à butiner et donc sans ressource pour se reproduire, tout leur écosystème est impacté. Pourtant, des solutions existent pour les protéger. En 30 ans d'apiculture, Jean-Michel Leydier n'avait jamais vu ça. "Toute la cire est tombée au fond de la ruche", constate cet apiculteur basé à Cléon-d'Andran dans la Drôme. La faute aux fortes chaleurs qui ont duré tout l'été. La reine a réduit sa ponte, il y a beaucoup moins d’abeilles. La colonie se réduit, on ne peut pas la diviser pour se multiplier ou faire des essais. Jean-Michel Leydier, apiculteur En temps normal, pendant l'été, la reine pond jusqu'à 2 000 œufs par jour. Aujourd'hui, la ponte est largement plus faible. Et pour cause, les abeilles manquent cruellement de nourriture. Les fleurs n'ont pas pu naître en raison de la chaleur. Les abeilles ne peuvent donc butiner. "Le problème principal, c’est le manque de ressources, explique Jean-Michel Leydier. C’est-à-dire qu’il n’y a plus de pollen, il n’y a plus de nectar donc les abeilles ne rentrent rien dans la colonie. C’est comme si, nous, on était privés de revenus." Plus de miel et surtout, plus de fruits et légumes pour nous les hommes. En effet, c'est l'abeille qui permet la reproduction des fleurs avec la pollinisation. Alors comment lutter contre leur disparition ? Plusieurs solutions existent, à commencer par penser l'implantation des ruches. "Il y a encore de quoi faire de l’apiculture en France mais d’une manière intelligente, considère Alain Marion, vice-président de la section apicole de la Drôme. Il ne faut pas mettre des ruches dans un périmètre où il n’y a pas d’arbre. Il faut de l’ombre, des arbres fruitiers pour que l’abeille puisse travailler. C’est tout ça l’intelligence de l’implantation." Installer les ruches à l'ombre, les disposer près de fleurs... Des astuces pour combler le manque d'eau, dont elles ont cruellement besoin. Leur survie est primordiale, notamment pour la région Auvergne-Rhône-Alpes qui pèse dans le secteur apicole. Elle compte plus de 300 000 colonies et plus de 15 000 détenteurs de ruches. Plus d'un apiculteur français sur cinq se trouve en Auvergne-Rhône-Alpes, ce qui fait d'elle la première région apicole de France.
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Une colonie de vacances à Saint-Lary-Soulan, dans les Hautes-Pyrénées, a été écourtée début août après des problèmes de comportement causés par un groupe d’adolescents. Roman, l’un des enfants inscrits à ce séjour, et sa mère Juliette nous racontent six jours d’"angoisse". Trois jours après le retour de son fils à la maison, Juliette prénom d'emprunt ne décolère pas contre l’organisation de la colonie de vacances à Saint-Lary Hautes-Pyrénées, qui a dégénéré sans que les parents des enfants n'en soient informés d'après elle. "Ca a été l’ignorance totale, soupire-t-elle. On n’a reçu aucun appel du centre." La mère de famille, installée dans le Tarn, va même plus loin elle affirme que l'organisation du séjour ment quand elle dit qu'il n'y a pas eu de violences physiques pendant ces jours d'"enfer" "Ce n’est pas vrai. Mon fils a reçu des coups de poings au visage, il a saigné du nez et il a même été soigné par la directrice !" Le 2 août dernier, Juliette laisse au bus Roman, 14 ans. Il doit partir pour quinze jours au sein d’une colonie dans les Pyrénées, grâce au dispositif régional "Premier départ en vacances", financé notamment par la Caisse d’allocations familiales. On a été approché par la CAF comme avec notre situation de revenus nous étions éligibles à ce programme. On a vu que cette colonie avait l’air chouette, qu’il pourrait faire du canyoning et plein d’activités extras que nous ne pouvons pas nous permettre. C’était une belle opportunité. Juliette, mère de Roman, 14 ans, inscrit à la colonie de vacances Mais dès l’arrivée des enfants sur place, la tension monte. Roman est installé dans un dortoir avec l’un de ses amis et dix adolescents, entre 13 et 15 ans. Un petit groupe d’entre eux fait alors beaucoup de bruit et intimide les autres. "Vers minuit j’ai dit à un garçon du groupe, le plus bruyant, Arrête de faire ton gamin et laisse nous dormir », raconte-t-il. Il m’a répondu Lève-toi si t’as des c*******". Je me suis levé et il s’est approché très près de moi donc je l’ai un peu repoussé, et là il m’a frappé derrière la tête, au visage, et j’ai saigné du nez. Roman, 14 ans, inscrit à la colonie de vacances Les animateurs sont prévenus, le lendemain l’adolescent responsable des coups et l’un de ses acolytes sont exclus de la colonie. Roman prévient sa mère, qui appelle ensuite le centre. La directrice m’a rassurée, m’a dit Ne vous inquiétez pas, on gère ». Je n’étais pas plus rassurée que ça, donc je lui ai dit de ne pas hésiter à m’appeler s’il y avait quoi que ce soit. Juliette, mère de Roman, 14 ans, inscrit à la colonie de vacances Mais Juliette le martèle après ce coup de téléphone le mercredi, elle n’a plus eu de nouvelles de la direction jusqu’au dimanche. Pourtant, Roman explique avoir subi insultes, menaces et coups pendant toute la durée du séjour, par le même groupe de jeunes. "Ils se connaissaient de Toulouse, deux d’entre eux étaient cousins", abonde-t-il. Avec son ami, il affirme être devenu suite à l’incident du premier soir leur tête de turc, et que les autres enfants avaient trop peur pour dire ou faire quoi que ce soit. Je me suis dit que c’était de ma faute, que si je ne m’étais pas levé le premier soir il ne se serait rien passé. Roman, 14 ans, inscrit à la colonie de vacances Le samedi soir, l’adolescent affirme avoir même dû se barricader dans sa chambre pour échapper à ses poursuivants. Le lendemain, le centre appelle les parents et les informent que le séjour est écourté, les enfants rentrent auprès de leurs familles. De retour chez lui, Roman a écrit le détail de ces six jours. "Maintenant, ça va, dit-il. Mais sur le moment c’était vraiment très stressant, j’ai fait des crises d’angoisse. C’était un peu choquant." Sa mère, elle, en veut à la direction de la colonie de l’avoir laissée dans l’ignorance, et de ne pas avoir laissé le choix aux parents de venir chercher leurs enfants plus tôt. Elle envisage de porter plainte contre les organisateurs du séjour. Pas contre les jeunes. Clairement ils n’auraient pas dû être là, ou alors ils auraient dû être encadrés différemment. Mais c’est d’abord la responsabilité des adultes. Juliette, mère de Roman, 14 ans, inscrit à la colonie de vacances Elle aimerait aussi qu’ils "compensent" ces vacances gâchées, avec un autre séjour ou des propositions d’activités. "On demande juste qu’ils donnent aux enfants ce qu’ils leur ont promis."biOr. 332 213 57 277 135 174 309 240 355