LDHMaison de la justice et du droit 22, rue Bernard et Mazoyer 93300 Aubervilliers. Le lundi de 10h à 17h (RDV au 01 48 11 32 24) 93 – AULNAY SOUS BOIS . téléphone : 06 16 42 71 05 – 06 13 19 61 34; permanence : 1 er mercredi de 18 h à 20 h et 3 ème samedi de 10 h à 12 h Bourse du Travail 19 rue Jacques Duclos (2 ème étage) Autre
Une présence judiciaire au plus près des citoyens Etablissements judiciaires de proximité, les maisons de Justice et du droit MJD sont chargées de l'information sur les droits et procédures ainsi que de la mise en oeuvre de certains modes amiables de règlement des conflits. Quelles sont leurs missions ? A qui s'adressent-elles ? Quels sont les professionnels qui y travaillent ?
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: Permanences du juriste : le mardi de 14h à 17h et le jeudi de 9h à 12h30 Permanences du psychologue : le mardi de 14h à 17h Permanences de Médiation Val d'Oise : Psychologue : tous les mercredis de 10h à 12h30 Code de l'organisation judiciaireChronoLégi Titre XII Maisons de justice et du droit Articles R*7-12-1-1 à R*7-12-1-10 »Version à la date format JJ/MM/AAAAou duCode de l'organisation judiciaireVersion en vigueur au 27 août 2022Masquer les articles et les sections abrogés Le projet de convention constitutive d'une maison de justice et du droit est soumis pour avis par les chefs du tribunal de grande instance dans le ressort duquel celle-ci est située aux formations de l'assemblée générale de ce tribunal visées aux articles R. 761-17, R. 761-27 et R. 761-34. Les chefs du tribunal de grande instance soumettent ce projet de convention aux chefs de cour, qui, après avoir recueilli l'avis des directeurs régionaux des services déconcentrés de l'administration pénitentiaire et de la protection judiciaire de la jeunesse, le transmettent avec leurs observations au garde des sceaux, ministre de la justice. Lorsqu'il approuve les termes du projet, le garde des sceaux, ministre de la justice, autorise les chefs du tribunal de grande instance à signer la convention. La convention constitutive est signée entre a Le préfet et, à Paris, le préfet de Paris et le préfet de police ; b Le président du tribunal de grande instance dans le ressort duquel est située la maison de justice et du droit ; c Le procureur de la République près ledit tribunal ; d Le maire de la commune où est située la maison de justice et du droit ou le président de l'établissement public de coopération intercommunale incluant cette commune ; e Le bâtonnier de l'ordre des avocats ; f Une ou plusieurs associations oeuvrant dans le domaine de la prévention de la délinquance, de l'aide aux victimes ou de l'accès au droit ; g Le cas échéant, le président du conseil départemental d'accès au droit. D'autres collectivités territoriales et d'autres personnes morales intéressées par les missions de la maison de justice et du droit peuvent également être signataires de cette convention. La convention constitutive détermine celles des missions prévues par la loi qui sont exercées par la maison de justice et du droit et les conditions de fonctionnement de celle-ci. La convention fixe les modalités selon lesquelles les collectivités territoriales mettent à la disposition de la maison de justice et du droit un local adapté à ses missions et fixe la répartition entre les signataires des charges inhérentes à son fonctionnement. La maison de justice et du droit est créée par arrêté du garde des sceaux, ministre de la justice. La convention constitutive est conclue pour une durée de trois ans renouvelable par tacite reconduction. Elle peut être dénoncée par chacune des parties signataires avec un préavis d'un an. Lorsqu'il émane des chefs de juridiction, ce préavis est réduit à un mois. La dénonciation est adressée aux présidents du conseil de la maison de justice et du droit ainsi qu'au garde des sceaux, ministre de la justice. Lorsque la dénonciation émane d'une partie mentionnée aux a à e de l'article R. 7-12-1-2, la convention est résiliée à l'expiration du préavis. Dans ce cas, un arrêté du garde des sceaux, ministre de la justice, porte suppression de la maison de justice et du droit. Les chefs de juridiction désignent, après avis de l'assemblée générale des magistrats du siège et du parquet mentionnée à l'article R. 761-17, un magistrat qui, sous leur autorité, a pour mission - de veiller, sans préjudice des attributions du greffier en chef, chef de greffe, à la coordination des actions conduites au sein d'une ou de plusieurs maisons de justice et du droit situées dans le ressort du tribunal et au bon emploi des moyens qui concourent à leur réalisation ; - d'assurer l'information régulière des membres du conseil de la maison de justice et du droit sur l'activité de celle-ci ; - de représenter la maison de justice et du droit lorsque cette représentation ne peut être assurée directement par les chefs de juridiction. Il est constitué un conseil de la maison de justice et du droit composé des signataires de la convention ou de leurs représentants, du greffier en chef, chef de greffe, et présidé par le président du tribunal de grande instance et le procureur de la République du ressort dans lequel la maison de justice et du droit est située. Le conseil de la maison de justice et du droit définit les orientations de l'action de celle-ci et met en place une procédure d'évaluation de cette action. Il autorise les interventions des associations. Le conseil, s'agissant des mesures exercées sous mandat judiciaire, est tenu informé par les chefs de juridiction des orientations et des résultats généraux obtenus. Le conseil examine les conditions financières de fonctionnement de la maison de justice et du droit et établit le règlement intérieur de celle-ci. Le conseil se réunit au moins une fois par an. Il peut entendre toute personne dont il juge l'audition utile. Il élabore annuellement un rapport général d'activité adressé aux chefs de cour, qui en assurent la transmission au garde des sceaux, ministre de la justice. Sans préjudice des dispositions prévues par leur statut ou les règles régissant leur activité, toutes les personnes qui participent au fonctionnement de la maison de justice et du droit sont tenues à l'obligation de confidentialité, notamment à l'égard des informations nominatives qu'elles recueillent dans l'exercice de leurs missions. Sous l'autorité des chefs de juridiction, le greffier en chef du tribunal de grande instance dans le ressort duquel la maison de justice et du droit est située veille au bon fonctionnement administratif de celle-ci et en prépare le projet de budget. Pour l'assister dans ses tâches, il affecte à la maison de justice et du droit, selon les modalités définies au premier alinéa de l'article R. 812-16, des greffiers de ce tribunal. Ces greffiers assurent l'accueil et l'information du public, la réception, la préparation et le suivi des procédures alternatives aux poursuites ; ils prêtent leur concours au bon déroulement des actions tendant à la résolution amiable des litiges ; ils assistent le magistrat visé à l'article R. 7-12-1-6 dans l'exercice de ses missions. Un arrêté du garde des sceaux, ministre de la justice, fixe la liste des maisons de justice et du droit annexée au code de l'organisation judiciaire. Emploi: Détaché à Maisons-Alfort, Val-de-Marne • Recherche parmi 911.000+ offres d'emploi en cours • Rapide & Gratuit • Temps plein, temporaire et à temps partiel • Meilleurs employeurs à Maisons-Alfort, Val-de-Marne • Emploi: Détaché - facile à trouver !
km 10 024Villepreux est une ville située dans le départementdes Yvelines 78 et de la région Île-de-France. Le code postal de la ville de Villepreux est le 78450 Code Insee 78674. Mairie et intercommunalité de VillepreuxLe maire de Villepreux est M. Jean-Baptiste public de coopération intercommunale de la ville de Villepreux est la Communauté d'agglomération de Saint Quentin en [...] km 31 854Trappes 78190, Yvelines, Île-de-FranceTrappes est une ville située dans le départementdes Yvelines 78 et de la région Île-de-France. 78190 Code Insee 78621 est le code postal de la ville de Trappes. Mairie et intercommunalité de TrappesLe maire de Trappes est M. Ali de la ville de Trappes est la Communauté d'agglomération de Saint Quentin en Yvelines. Cet EPCI est présidé par M. Michel LAUGIER. Population et géograph[...] km 33 252Montigny-le-Bretonneux est une ville située dans le départementdes Yvelines 78 et de la région Île-de-France. Le code postal de la ville de Montigny-le-Bretonneux est le 78180 Code Insee 78423. Mairie et intercommunalité de Montigny-le-BretonneuxLe maire de Montigny-le-Bretonneux est M. Lorrain public de coopération intercommunale de la ville de Montigny-le-Bretonneu[...] km 14 081Bois-d'Arcy est une ville située dans le départementdes Yvelines 78 et de la région Île-de-France. Le code postal et le code Insee de la ville de Bois-d'Arcy sont respectivement 78390 et 78073. Mairie et intercommunalité de Bois-d'ArcyLe maire de Bois-d'Arcy est M. Jean-Philippe de la ville de Bois-d'Arcy est la Communauté d'agglomération Versailles Grand Parc Cet EPCI [...] km 36 994Poissy 78300, Yvelines, Île-de-FrancePoissy est une ville située dans le départementdes Yvelines 78 et de la région Île-de-France. 78300 Code Insee 78498 est le code postal de la ville de Poissy. Mairie et intercommunalité de PoissyLe maire de Poissy est M. Karl de la ville de Poissy est la Communauté urbaine Grand Paris Seine et Oise. Cet EPCI est présidé par M. Philippe TAUTOU. Population et géographie de PoissySu[...] km 18 344La ville de Saint-Cyr-l'École est située au sein du départementdes Yvelines 78 et de la région Île-de-France. 78210 Code Insee 78545 est le code postal de la ville de Saint-Cyr-l'École. Mairie et intercommunalité de Saint-Cyr-l'ÉcoleLe maire de Saint-Cyr-l'École est Mme Sonia appartient à la Communauté d'agglomération Versailles Grand Parc Cet EPCI est pré[...] km 27 328Guyancourt est une ville située dans le départementdes Yvelines 78 et de la région Île-de-France. Le code postal et le code Insee de la ville de Guyancourt sont respectivement 78280 et 78297. Mairie et intercommunalité de GuyancourtLe maire de Guyancourt est M. François de la ville de Guyancourt est la Communauté d'agglomération de Saint Quentin en Yvelines. Cet EPCI est présidé pa[...] km 16 331La ville de Marly-le-Roi est située au sein du départementdes Yvelines 78 et de la région Île-de-France. Le code postal et le code Insee de la ville de Marly-le-Roi sont respectivement 78160 et 78372. Mairie et intercommunalité de Marly-le-RoiLe maire de Marly-le-Roi est M. Jean-Yves de la ville de Marly-le-Roi est la Communauté d'agglomération Saint Germain Boucles de Seine. Cet E[...] km 7 678La ville de Saint-Rémy-lès-Chevreuse est située au sein du départementdes Yvelines 78 et de la région Île-de-France. Le code postal et le code Insee de la ville de Saint-Rémy-lès-Chevreuse sont respectivement 78470 et 78575. Mairie et intercommunalité de Saint-Rémy-lès-ChevreuseLe maire de Saint-Rémy-lès-Chevreuse est M. Dominique appartient à la Communauté de com[...] km 39 540Saint-Germain-en-Laye est une ville située dans le départementdes Yvelines 78 et de la région Île-de-France. Le code postal de la ville de Saint-Germain-en-Laye est le 78100 Code Insee 78551. Mairie et intercommunalité de Saint-Germain-en-LayeLe maire de Saint-Germain-en-Laye est M. Arnaud appartient à la Communauté d'agglomération Saint Germain Boucles de Seine[...] km 15 853Vauréal 95490, Val-d'Oise, Île-de-FranceVauréal est une ville située dans le départementdu Val-d'Oise 95 et de la région Île-de-France. 95490 Code Insee 95637 est le code postal de la ville de Vauréal. Mairie et intercommunalité de VauréalLe maire de Vauréal est Mme Sylvie appartient à la Communauté d'agglomération de Cergy-Pontoise. Cet EPCI est présidé par M. Dominique LEFEBVRE. Population et géographie de Vauréal[...] km 4 402Maurecourt est une ville située dans le départementdes Yvelines 78 et de la région Île-de-France. 78780 Code Insee 78382 est le code postal de la ville de Maurecourt. Mairie et intercommunalité de MaurecourtLe maire de Maurecourt est M. Joël appartient à la Communauté d'agglomération de Cergy-Pontoise. Cet EPCI est présidé par M. Dominique LEFEBVRE. Population et géographie[...] km 5 413Faisant partie de la région Île-de-France, la ville de Le Port-Marly est plus précisément située dans le départementdes Yvelines 78. 78560 Code Insee 78502 est le code postal de la ville de Le Port-Marly. Mairie et intercommunalité de Le Port-MarlyLe maire de Le Port-Marly est M. Cédric public de coopération intercommunale de la ville de Le Port-Marly est la Commu[...] km 8 018L'Aigle 61300, Orne, Basse-NormandieFaisant partie de la région Normandie, la ville de L'Aigle est plus précisément située dans le départementde l'Orne 61. 61300 Code Insee 61214 est le code postal de la ville de L'Aigle. Mairie et intercommunalité de L'AigleLe maire de L'Aigle est M. Philippe de la ville de L'Aigle est la Communauté de communes des Pays de L'Aigle. Cet EPCI est présidé par M. Jean SELLIER. Po[...] km 28 590La ville de Le Chesnay est située au sein du départementdes Yvelines 78 et de la région Île-de-France. Le code postal et le code Insee de la ville de Le Chesnay sont respectivement 78150 et 78158. Mairie et intercommunalité de Le ChesnayLe maire de Le Chesnay est M. Richard Chesnay appartient à la Communauté d'agglomération Versailles Grand Parc Cet EPCI est présidé p[...] km 62 979Cergy 95000, Val-d'Oise, Île-de-FranceLa ville de Cergy est située au sein du départementdu Val-d'Oise 95 et de la région Île-de-France. 95000 Code Insee 95127 est le code postal de la ville de Cergy. Mairie et intercommunalité de CergyLe maire de Cergy est M. Jean-Paul appartient à la Communauté d'agglomération de Cergy-Pontoise. Cet EPCI est présidé par M. Dominique LEFEBVRE. Population et géographie de CergyLa po[...] km 21 275Faisant partie de la région Île-de-France, la ville de La Celle-Saint-Cloud est plus précisément située dans le départementdes Yvelines 78. Le code postal de la ville de La Celle-Saint-Cloud est le 78170 Code Insee 78126. Mairie et intercommunalité de La Celle-Saint-CloudLe maire de La Celle-Saint-Cloud est M. Olivier public de coopération intercommunale de la ville [...] km 17 090Osny 95520, Val-d'Oise, Île-de-FranceFaisant partie de la région Île-de-France, la ville d'Osny est plus précisément située dans le départementdu Val-d'Oise 95. Le code postal de la ville d'Osny est le 95520 Code Insee 95476. Mairie et intercommunalité d'OsnyLe maire d'Osny est M. Jean-Michel appartient à la Communauté d'agglomération de Cergy-Pontoise. Cet EPCI est présidé par M. Dominique LEFEBVRE. Population et [...] km 15 929La ville de Le Vésinet est située au sein du départementdes Yvelines 78 et de la région Île-de-France. Le code postal et le code Insee de la ville de Le Vésinet sont respectivement 78110 et 78650. Mairie et intercommunalité de Le VésinetLe maire de Le Vésinet est M. Bruno public de coopération intercommunale de la ville de Le Vésinet est la Communauté d'agglomération Sa[...] km 85 461La ville de Versailles est située au sein du départementdes Yvelines 78 et de la région Île-de-France. 78000 Code Insee 78646 est le code postal de la ville de Versailles. Mairie et intercommunalité de VersaillesLe maire de Versailles est M. François DE public de coopération intercommunale de la ville de Versailles est la Communauté d'agglomération Versailles Grand Pa[...]
Dulundi au jeudi de 9h à 12h sans rendez-vous et de 14h à 17h sur rendez-vous. Permanence téléphonique le vendredi de 13h à 16h. Adresse (ou lieu d'activité) : 3, place Le tribunal administratif de Versailles a validé l'élection municipale partielle de Trappes ce mardi. Le recours du candidat LR Othman Nasrou a donc été rejeté. Le résultat de l'élection municipale partielle à Trappes a été validé ce mardi par le tribunal administratif de Versailles. C'est donc le maire sortant Ali Rabeh qui remporte le scrutin. Le recours déposé par Othman Nasrou LR/Libres ! a été rejeté. Le 10 octobre dernier, M. Rabeh avait rassemblé 58,36% des suffrages dès le premier tour du scrutin, organisé après l'annulation de celui de 2020. Interrogé par l'AFP, Ali Rabbeh a réagi à cette décision en indiquant que "Jusqu'au bout, M. Nasrou n'a eu de cesse de contester avec la plus grande mauvaise foi la décision claire des Trappistes. Il n'a finalement récolté qu'un désaveu encore plus cinglant, dans les urnes et maintenant devant les tribunaux." En juin 2020, la victoire d'Ali Rabeh avec 161 voix d'avance avait été annulée par le tribunal administratif puis le Conseil d'Etat, qui lui ont reproché d'avoir distribué, en pleine pandémie, masques accompagnés pour certains de sa photo, sans que cette action ait été déclarée dans ses comptes de campagne. L'an dernier, Ali Rabeh avait devancé au premier tour Othman Nasrou, premier vice-président de Valérie Pécresse au conseil régional d'Île-de-France, qui bénéficiait pour l'occasion du soutien de l'ancien maire PS de Trappes, Guy Malandain. Mais le candidat Libres ! avait déposé un nouveau recours en annulation du scrutin en octobre 2021, dénonçant "des éléments factuels graves laissant présumer une nouvelle fraude électorale". Dans son jugement, le tribunal administratif a tranché en expliquant "Il ne résulte pas de l'instruction, ainsi qu'il a été dit, que M. Rabeh et ses colistiers se seraient livrés à des manœuvres frauduleuses ayant eu pour objet ou pour effet de porter atteinte à la sincérité du scrutin."

Maisonde justice et du droit de St Quentin en Yvelines – Antenne de Trappes. 3 place de la mairie - 78190 Trappes . Tel : 01 30 16 03 20 Mail :

Publié le 25/08/2022 25 août août 08 2022 Les travaux des Etats généraux de la justice se sont récemment clôturés par la remise d’un rapport général, puis de plusieurs rapports spéciaux, notamment un sur la justice civile. Ce rapport très détaillé agrémenté de fiches sur les différentes préconisations appelle quelques réflexions, qui n’engagent que l’opinion de son auteur, praticien des juridictions civiles. Volontairement, il est précisé que l’ensemble des sujets abordés dans le rapport spécifique à la justice civile ne seront pas traités, pour ne sélectionner que les points prêtant à discussion ou à des enrichissements possibles du point de vue de l’auteur. En effet, le rapport sur la justice civile comporte beaucoup de propositions, notamment fortement axées sur le développement des modes alternatifs de règlement des différends MARD et sur la simplification de la procédure. I. Un appel à la révision des errements issus des dernières réformes Les préconisations du rapport mettent clairement l’accent sur la nécessité de revenir sur certains écueils, mis au jour par la pratique, relatifs aux multiples réformes récentes de la procédure civile. 1. En premier lieu, il forme une proposition en émettant le souhait de revenir sur le principe selon lequel le Juge de la mise en état serait exclusivement compétent pour statuer sur les fins de non-recevoir, en plus des exceptions de procédure. Il s’agit en effet d’une disposition qui a eu pour effet d’augmenter considérablement le contentieux devant le Juge de la mise en état, avec des possibilités d’appel qui retardent l’issue des procédures au fond. La proposition de laisser l’option d’une compétence, soit au Juge de la mise en état, soit au Juge du fond ce qui veut dire que la fin de non-recevoir pourrait toujours être soumise d’emblée à la juridiction du fond semble pertinente. S’agissant du fonctionnement de la mise en état, notamment en première instance, le rapport constate que, malgré l’esprit des précédentes réformes ayant institué une audience d’orientation », le flux des dossiers et l’investissement nécessaire, outre la forme dématérialisée des audiences d’orientation, ne permettent pas que s’instaure un dialogue réel avec les parties. Il souhaite la création d’une nouvelle étape, avec une audience de dialogue permettant de faire plusieurs choix d’orientation, y compris le recours aux modes alternatifs. Pourquoi pas ? Mais, il s’agit ici de rajouter une étape en plus, avec probablement un délai supplémentaire. Il nous semble que la première difficulté dans le dialogue entre les parties et le Juge au stade de la mise en état tient essentiellement au fait que l’ensemble des audiences de mise en état se tiennent virtuellement et de manière asynchrone, avec des logiciels ne permettant pas un réel dialogue instantané. En outre, ajouter une audience de dialogue avec le Juge de la mise en état, à laquelle les dominus litis ne se déplaceront probablement pas, et auxquels ne seront souvent présents que les avocats postulants en charge de la procédure et n’étant pas forcément autant fait de tous les aspects stratégiques du dossier ce n’est pas leur rôle, aboutira probablement à des dialogues assez peu constructifs. En revanche, dans le même esprit, alors que le rapport insiste sur la nécessité d’outils modernes, faire en sorte que la mise en état puisse recourir à des procédés d’échanges ne serait-ce qu’équivalents aux outils qu’aujourd’hui l’ensemble du monde professionnel utilise la visioconférence ou les outils de communication instantanée permettraient probablement de résoudre une partie des problèmes. En synthèse, le Juge chargé de la mise en état pourrait tout à fait entendre les parties par visioconférence une audience virtuelle, donc, mais pas asynchrone, ce qui éviterait des déplacements, permettrait d’avoir en ligne directement l’avocat en charge du fond du dossier et éventuellement d’instaurer un dialogue, évitant des renvois multiples sur des incompréhensions ou au contraire des décisions mal venues sous couvert de ne pas perdre de temps. Nous savons que les outils existent puisqu’ils ont été utilisés très à la marge, malheureusement pendant la période de crise du COVID par certains Juges de la mise en état. 2. S’agissant de la procédure d’appel, là encore, le rapport plaide pour que les conséquences soient tirées des errements de la réforme Magendie, qui n’a pas accéléré la durée des procédures. Néanmoins, les préconisations formulées demeurent très marginales rallongement de certains délais, allègement de certaines formalités sans remettre en cause le fonctionnement, même si un appel à l’assouplissement des sanctions est formulé. Il aurait été probablement possible de formuler des propositions plus audacieuses Dès lors que, parallèlement, le rapport préconise même au stade de l’appel de favoriser l’usage des modes alternatifs de règlement des différends, pourquoi ne pas mettre à profit le temps de l’instance pour favoriser cela plutôt que d’y consacrer, comme cela ressort de la proposition, un rapide délai d’un mois pour savoir si un accord amiable peut être trouvé. Pourquoi, dans cette optique, ne pas alors faire courir les délais enjoints aux parties pour conclure, non pas à compter de la déclaration d’appel, mais à compter de la fixation par la Cour, en imposant des délais rétroactifs avant la clôture prévue, avec des possibilités restreintes d’y déroger. Probablement sans les enfermer dans des délais couperets, en revenant au critère qui demeurent roi en matière de procédure civile, sous-jacents du principe de la contradiction, qu’est l’existence ou non d’un grief » à l’appréciation du juge. L’objectif serait alors uniquement tout en respectant le timing de la juridiction, de vérifier que les règles du procès équitable ont été observées et non pas d’instaurer des chausse-trappes visant à évacuer une partie du stock » terme utilisé dans le rapport.II. De vraies innovations Le rapport préconise notamment la création d’un tribunal virtuel pour les petits litiges en prenant l’exemple francophone du Québec. Une juridiction dématérialisée, avec un glissement souple entre l’amiable et le judiciaire. On imagine derrière une réduction du délai de jugement, une réduction des coûts avec la mise en place d’une plateforme virtuelle, dans laquelle le justiciable aurait accès aux informations avant la saisine, puis pourrait suivre en ligne à tout moment l’évolution de son litige, jusqu’à l’exécution. C’est une orientation que les prospectivistes appellent de leurs vœux depuis de nombreuses années. On ne peut que la soutenir. Toutefois, attention au délai de déploiement d’un tel outil. Il faut probablement rappeler qu’il existe pléthore outils informatiques permettant d’imaginer ces fonctionnalités. Il pourrait sembler anachronique de tenter de recréer ce qui existe déjà par ailleurs, motif pris de la souveraineté, qui ne doit pas faire oublier les coûts inhérents à un tel développement. Il y a en outre d’excellentes société françaises capables de travailler sur de tels Des solutions à des problèmes récurrents Une partie du rapport évoque notamment la question, outre celle de la contribution des citoyens par le paiement d’une taxe pour saisir les juridictions, de la prise en charge des frais d’avocat, notamment de ceux de la partie qui gagne le procès l’article 700 du CPC. Une étude intéressante en droit comparé permet de savoir quels sont les systèmes mis en place dans les autres pays. La proposition formulée est celle d’un système dans lequel les parties justifieraient des frais réels exposés, ce qui a l’avantage de la transparence. Le rapport, et on ne peut qu’approuver, est défavorable à la production des factures en tant que telles puisqu’elles sont soumises au secret professionnel. Le Magistrat serait alors, si l’on comprend bien, tenu de prendre en compte les frais réels, avec une latitude d’appréciation. Certes, cette latitude est probablement essentielle afin d’éviter les dérives inflationnistes et de rétablir l’égalité quant au choix des conseils. Mais il faut alors que les critères arrêtés soient précis, limitatifs et encadrés, afin d’éviter un pouvoir de modération trop Une part importante de la réflexion orientée autour des MARD Le rapport part d’un constat fait par tous les praticiens celui d’un échec relatif de l’utilisation des modes alternatifs de règlement des différends. Il évoque essentiellement la question de la conciliation et de la médiation. Dont acte. Le rapport incite à la promotion des modes alternatifs. Là encore, on ne peut qu’approuver. Cependant, le discours tenu manque de clarté quant à la réparation des rôles. Une présence du Juge au stade de la préconisation et de l’accompagnement de la mesure, de médiation ou de conciliation, puis au stade de l’homologation d’un éventuel accord amiable est préconisée. C’est évidemment une bonne chose. Néanmoins, est évoquée la question de la présence des médiateurs à des audiences, et de bureaux tenus par des médiateurs au sein de la juridiction. Or, si les conciliateurs sont des collaborateurs Service public de la Justice, ce n’est pas le cas des médiateurs, qui sont des professionnels indépendants, regroupés souvent sous forme d’associations, qui obtiennent un agrément de la Cour d’appel. On peut donc se demander s’il est pertinent que des médiateurs libéraux », ou des associations, soient investis de missions par les magistrats, membres du Service public de la Justice, sans pour autant disposer d’une délégation de Service public attribuée au terme d’un appel d’offres, et a fortiori s’il est pertinent que des médiateurs disposent de locaux dans ceux de l’institution. Ceci entraine probablement alors une distorsion de concurrence dans le cadre d’un marché qui a probablement tout intérêt à s’autorégler, ne serait-ce que pour faire émerger une libre concurrence. Or, cette libre concurrence ne peut pas exister si la prime est donnée à certains au détriment d’autres. Le Service public doit alors observer une saine neutralité. Il conviendrait probablement de veiller à ne pas tomber dans les errements dans lesquels le système du Service public de la Justice a pu tomber par ailleurs en matière d’expertises judiciaires, avec toutes les conséquences qui s’en suivent sur le montant des honoraires par ailleurs taxés. Il y aurait probablement tout lieu de considérer que le magistrat doit, dans un premier temps ordonner la médiation, mais sans désigner d’organisme de médiation ou de médiateur, quitte à en désigner un d’office, si effectivement les parties n’arrivent pas à s’accorder. Comme le Juge d’appui en arbitrage. D’autant que l’offre de médiation est aujourd’hui suffisamment diversifiée pour qu’en fonction de la nature du litige, de l’éloignement des parties, des spécificités rencontrées, telle ou telle offre de médiation soit plus adéquate qu’une L’absence quasi-totale de référence aux modes alternatifs Si les modes amiables de résolution des différends sont abondamment évoqués dans le cadre des préconisations du rapport, tel n’est pas le cas des modes alternatifs. Il y a en effet une distinction aujourd’hui bien connue entre les deux. La médiation et la conciliation sont des modes amiables, visant à rapprocher les parties en résumé. Mais l’acronyme MARD peut également être lu sous celui de modes alternatifs de résolution des différends, ce qui englobe alors également l’arbitrage, dans lequel l’amiable n’est pas le sujet puisque c’est l’arbitre, juge privé, qui tranche, le plus souvent en droit. Il est tout à fait dommage, considérant la problématique sur laquelle se penchent les Etats généraux de la justice, que la question de l’arbitrage, outil très puissant, parfaitement normé, faisant l’objet d’une jurisprudence abondante, dans laquelle le contrôle du juge étatique peut s’opérer à divers stades juge d’appuis, exéquatur, appel nullité soit totalement passée sous silence. Ceci est dommage dès lors que l’objectif du rapport vise à tenter de trouver des solutions face à l’engorgement d’un système étatique qui n’arrive pas à gérer les flux » pour reprendre un terme probablement un peu barbare, mais qui a l’avantage d’être explicite. On ne peut que regretter que ne soit pas émise une hypothèse selon laquelle le Service public accepterait de concentrer ses efforts sur les domaines régaliens, qui ne peuvent pas être soumis à des modes alternatifs, comme le pénal ou l’état des personnes, en concevant qu’à défaut, les parties pourraient tout à fait recourir à l’arbitrage pour régler les litiges ne relevant pas du régalien et notamment les litiges entre les parties privées. Ceci est d’autant plus regrettable que le monde de l’arbitrage lui-même est aujourd’hui conscient qu’il a tout intérêt à se démocratiser et à devenir accessible. On tiendrait ici une solution facile, sans dépense d’argent public, pour régler les contentieux de manière rapide le délai par principe pour reddition de la sentence est fixé à six mois maximum, sauf accord des parties, en puisant dans le vivier que constitue la communauté des juristes, notamment les avocats, en fonction de leurs domaines de conclusion, on peut saluer les travaux réalisés par les rédacteurs du rapport sur la justice civile et de manière plus générale par les acteurs ayant mené ces Etats généraux de la justice. Mais il convient de souhaiter que les pouvoirs publics se saisissent des sujets évoqués avec le plus grand pragmatisme possible en concevant des solutions ambitieuses, sans se contenter de corrections à la marge. Cet article n'engage que son auteur.
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Publié le 20/10/2021 à 1604, Mis à jour le 20/10/2021 à 1626 Le vice-président de la région Île-de-France estime que des éléments factuels graves» laissent présumer une nouvelle fraude électorale». Othman Nasrou Le candidat malheureux demande une nouvelle annulation du scrutin, remporté par l'élu de avec 58% des suffrages dès le premier tour. Le scénario est rocambolesque. Othman Nasrou, candidat LR malheureux de l'élection municipale partielle à Trappes du 10 octobre dernier, a déposé ce mardi un nouveau recours devant la justice. Il demande l'annulation des résultats du scrutin, où son adversaire, Ali Rabeh l'a emporté dès le premier tour avec 58% des voix. Le vice-président de la région Île-de-France, proche de Valérie Pécresse, dénonce des éléments factuels graves laissant présumer une nouvelle fraude électorale». Il précise d'ailleurs à l'AFP que des procédures et signalements ont été effectués avant même le résultat de l'élection».À VOIR AUSSI - Trappes Ali Rabeh joue avec le feu», déplore Othman NasrouUne élection qui avait déjà été au cœur d'une polémique après les résultats du scrutin de 2020, où Ali Rabeh s'était imposé au deuxième tour avec plus de 40% des voix dans une triangulaire, avec moins de 200 voix d'avance sur Othman Nasrou. Ce dernier avait alors déposé un recours auprès du tribunal administratif de Versailles et l'élection avait été annulée par la juridiction, puis par le Conseil d'État. La raison ? Ali Rabeh avait mené des actions caritatives en tant que président d'association alors qu'il était candidat, sans intégrer les sommes dépensées à ses comptes de lire aussiGangrenée par le communautarisme, Trappes se cherche un mairePas d'inéligibilitéD'abord condamné à l'inéligibilité par le tribunal administratif, l'élu de gauche a finalement vu cette sanction être annulée par le Conseil d'État. Ce qui lui a permis de se représenter pour la municipale partielle... et de l'emporter une nouvelle fois, malgré l'alliance d'Othman Nasrou avec l'ancien maire socialiste de la ville, Guy Malandain. Lors de l'annonce du résultat du scrutin, Othman Nasrou n'avait pas caché sa déception, sur Twitter. Ce soir, les Trappistes ont décidé de réélire Ali Rabeh, nous n'avons visiblement pas réussi à convaincre qu'une alternative républicaine était possible», avait-il adversaire s'était quant à lui félicité sa réélection et de la participation en hausse de six points, fait rare pour une élection partielle. Contacté par France 3, il estime cet énième» recours d'Othman Nasrou grotesque et sans contenu». Le tribunal administratif de Versailles donnera en tout cas son verdict d'ici deux VOIR AUSSI - Assassinat de Samuel Paty J'ai vu dès 2015 la situation se dégrader à Trappes», témoigne Didier Lemaire Municipale partielle à Trappes après la réélection de Rabeh, Nasrou LR dépose un nouveau recours S'ABONNERFermerS'abonner

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