LesLooney Tunes passent à laction :\r Bunny travaille avec son collègue Daffy Duck pour la Warner. Mais le canard décide de partir, ne supportant plus le traitement de faveur réservé au lapin. Il est bientôt
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Cinéma Coronavirus et pandémie de Covid-19 Vous êtes un peu déprimé en ces temps de confinement ? Après avoir vu ou revu ces feel-good movies », ça ira forcément mieux. Promis. Gamin, Porco Rosso lui a donné envie d’être pilote d’avion raté, il est finalement devenu journaliste. Pour elle, Mamma Mia !, c’est le film capable de lui redonner le sourire un dimanche soir de janvier » – c’est dire. Un autre a arrêté de compter le nombre de fois qu’il a vu Maman, j’ai encore raté l’avion ! au bout du treizième visionnage… Nous avons tous un film fétiche qui nous rend heureux, adoucit nos peines ou nous fait oublier nos soucis. Et puisque nous sommes tous cloîtrés à la maison, c’est le moment pour les membres de la rédaction du Monde de partager les leurs, de s’installer bien confortablement sous la couette et de les revoir avec vous. Space Jam », de Joe Pytka 1996 Catastrophe au pays des Looney Tunes de tout petits mais très méchants extraterrestres veulent les enlever et faire d’eux des esclaves. Bugs Bunny et ses amis décident de jouer leur liberté dans un match… de basket. Malin ! Sauf que les petits hommes verts se transforment en géants surdoués du ballon orange après avoir volé les pouvoirs des plus grands joueurs de la NBA. Seule solution pour les Tunes tirer de sa retraite le meilleur joueur du monde, Michael Jordan himself, et le faire venir dans leur monde pour les aider à gagner. En mélangeant des personnages de dessin animé et de vrais humains, Space Jam donne lieu au match le plus fou de l’histoire du basket-ball ! Le tout agrémenté d’une bande originale inoubliable. Le film a beau dater de 1996, le travail d’animation n’a presque pas pris une ride. Bonne nouvelle pour les fans un Space Jam 2 est en préparation, et c’est LeBron James qui prendra la suite du grand MJ ». Sortie prévue en juillet 2021. Marie Slavicek Le Come-back », de Marc Lawrence 2007 Alex Fletcher, un chanteur ringard des années 1980, a une superbe occasion de revenir sur le devant de la scène la superstar du moment, Cora Corman, lui propose de composer son prochain single. Il rencontre Sophie Fisher, une jeune femme farfelue, qui va l’aider à compenser son point faible les paroles. Une comédie romantique drôle à la bande-son plaisante et bien portée par ses acteurs un Hugh Grant parfait en chanteur vieillissant qui n’a rien perdu de ses dévastatrices qualités de danseur et une Drew Barrymore perchée et attachante. Laetitia Béraud Les Demoiselles de Rochefort », de Jacques Demy 1967 Il est des films qui vous happent dès les premières secondes, qui vous appellent dès les premières notes. La séquence d’ouverture des Demoiselles de Rochefort, de Jacques Demy, le ballet des camionneurs sur le pont transbordeur, produit un effet immédiatement hypnotique. Le voir, c’est découvrir un monde enchanteur, fait de grands sentiments en Technicolor et de musiques envoûtantes signées Michel Legrand. Le revoir, c’est goûter aux subtils dialogues, au phrasé délicat de Françoise Dorléac et de Catherine Deneuve, les sœurs jumelles » esthètes, bien décidées à mener leur vie comme elles l’entendent. Autour d’elles gravite une pléiade de seconds rôles, plus merveilleux les uns que les autres le beau blond, Maxence Jacques Perrin, la mère débordée, Yvonne Danielle Darrieux, le vendeur d’instruments de musique, Simon Dame Michel Piccoli, les drôles de forains Etienne George Chakiris et Bill Grover Dale… sans oublier l’irrésistible Andy Miller. Ce dernier est campé par Gene Kelly, figure tutélaire de la comédie musicale américaine. Les Demoiselles de Rochefort est, pour citer le duo Demy-Legrand, le remède à la tragédie de l’existence » et pourrait être décrite comme la comédie du bonheur ». Alexis Duval Monty Python La Vie de Brian », de Terry Jones 1979 Pour leur deuxième long-métrage, après Sacré Graal !, le sextuor britannique des Monty Python nous emmène en Galilée. Nous sommes en l’an 1 et, au terme de leur long périple, les Rois mages venus pour un hommage au fils de Dieu se trompent d’étable au lieu de rendre visite à Jésus de Nazareth, Melchior, Gaspard et Balthazar arrivent chez Brian Cohen, né le même jour, à la même heure. Accueillis par une affreuse mégère, ils comprennent rapidement leur erreur et rebroussent chemin, mais l’histoire de ce bébé, fruit des amours coupables de sa mère et d’un centurion romain, et celle du Christ sont désormais inextricablement liées. Le titre du film ne fait aucun mystère il est question de la vie de Brian, un faux messie nourri par sa haine de l’occupant romain et marqué par son engagement auprès du Front populaire de Judée. Derrière l’humour très british se cache une satire féroce et le film, jugé blasphématoire, a été interdit dans plusieurs pays à sa sortie en 1979 – il le fut jusqu’en 2001 dans l’île de Jersey ! On ne compte plus le nombre de scènes cultes qu’il recèle, à l’image de la morale des crucifiés chantonnant Always Look on the Bright Side of Life. Aude Lasjaunias Porco Rosso », d’Hayao Miyazaki 1992 Un cochon volant qui pourchasse des pirates à bord de son rutilant hydravion au-dessus des eaux bleues de l’Adriatique. Le pitch a de quoi intriguer et Hayao Miyazaki nous entraîne dans des loopings d’émotions. Moins connu chez nous que Princesse Mononoké ou Le Voyage de Chihiro, Porco Rosso est une déclaration d’amour à l’aviation, filigrane de l’œuvre du cinéaste japonais, dont le père et l’oncle fabriquaient des avions. C’est aussi une plongée aventureuse dans la période, insouciante, des années 1920 alors que le fascisme monte en Italie. A déguster sans modération, aussi bien en VO que dans la version française, portée par la voix de Jean Reno dans le rôle-titre. Effets secondaires tend à faire fredonner Le Temps des cerises sans cesse, ce qui peut provoquer des crispations en période de confinement. Clément Martel Le Lauréat », de Mike Nichols 1967 Benjamin Braddock Dustin Hoffman est confiné. Confiné dans sa vie bien rangée de la petite bourgeoisie blanche californienne. Comme son poisson rouge qu’il regarde tourner dans son pauvre aquarium. Qu’il est long, cet été 1967 ! Fraîchement diplômé, Benjamin est venu passer quelques jours chez ses parents pour réfléchir et décider de son futur. C’était sans compter Mrs Robinson Anne Bancroft, à la beauté renversante, qui déniaisera le jeune homme avant que celui-ci ne tombe amoureux de sa fille Elaine Katharine Ross. Comédie romantique anticonformiste, film sur l’émancipation et la libération sexuelle, Le Lauréat est une œuvre jubilatoire à la bande-son impeccable, presque entièrement composée par Simon and Garfunkel. Avec un mot d’ordre l’amour contre l’ordre moral. Abel Mestre Mamma Mia ! », de Phyllida Lloyd 2008 L’adaptation de la comédie musicale Mamma Mia ! a trop » de tout trop de bons sentiments, de chansons d’ABBA, de vibratos, de soleil et de regards énamourés. C’est un film insupportable en temps normal – et c’est celui qu’il vous faut en ce moment une pure dose de joie, de danse et de musique pendant une heure quarante-cinq, dans le décor de carte postale d’une île grecque. Et puis, à bien y regarder, certaines choses sont réussies. Meryl Streep est très drôle, et les deux trios d’adultes la mère et ses copines, les trois pères potentiels de l’héroïne fonctionnent à merveille. C’est un film joyeux, rythmé, qui vous rappellera aussi que tout cela est transitoire et que bientôt, vous pourrez de nouveau danser avec vos amis sur la chanson Dancing Queen. En tout cas, c’est un film qui redonne la pêche, même un 26 décembre, même un dimanche soir de janvier – on vous jure, on a testé. Violaine Morin Meurtre mystérieux à Manhattan », de Woody Allen 1993 Pour retrouver le goût de New York dans les années 1990 – pour ceux qui l’ont connu comme pour ceux qui n’ont pas eu cette chance –, pour se rappeler à quel point Diane Keaton, Alan Alda et Anjelica Huston sont des acteurs exceptionnels, pour des répliques qui ne s’oublient jamais dont la fameuse Quand j’écoute trop Wagner, j’ai envie d’envahir la Pologne », pour redécouvrir Sing Sing Sing, ce morceau de Benny Goodman devenu tarte à la crème du jazz big band », il faut absolument voir Meurtre mystérieux à Manhattan. Sur une intrigue classique mais pas simpliste la voisine du couple Keaton-Allen meurt subitement et son mari n’a pas l’air bien malheureux… c’est donc très louche, Woody Allen tricote un polar léger comme une bulle de savon, aux dialogues fins et drôles et à la cinématographie très chic. Indispensable pour briller dans les dîners en société cet été. Audrey Fournier La Vie rêvée de Walter Mitty », de Ben Stiller 2013 Walter Mitty est comme la plupart des hommes enfermé dans son quotidien. Les seules échappées qu’il s’offre, ce sont à travers ses rêves délirants et décalés dignes des pires ou des meilleurs, c’est selon blockbusters américains, et ses tentatives maladroites pour séduire une collègue. Jusqu’au jour où un souci dans sa vie professionnelle – il travaille au service des négatifs du magazine Life – l’oblige à partir à la recherche d’un cliché manquant et du photographe qui en est à l’origine. Voyage au Groenland, duel avec un requin, skateboard au milieu des fjords islandais, alpinisme en Afghanistan… Pas de doute, la vie de Walter s’en trouvera transformée pour de bon. Et voici que le tranquille employé de bureau se mue en baroudeur appliquant à la lettre la devise de Life Voir le monde, ses contrées les plus dangereuses, voir au-delà des murs, regarder de plus près, aller à la rencontre de l’autre et ressentir. Voilà le but de la vie. » Olivier Mougeot Maman, j’ai encore raté l’avion ! », de Chris Colombus 1992 Deux voleurs ratés reprennent du service après s’être évadés de prison et tombent, une nouvelle fois, sur Kevin McCallister. Bonnet vissé sur la tête, l’insolent enfant de 12 ans – interprété par Macaulay Culkin – débarque à New York par erreur. Paniqué quelques minutes à l’idée d’être seul dans une mégalopole située à des centaines de kilomètres de sa famille, il oublie vite ses tracas en dilapidant l’argent de ses parents dans une suite luxueuse du Plaza Hotel. Mais lorsque Kevin comprend qu’Harry et Marvin, surnommés les casseurs poisseux », veulent subtiliser le coffre du grand magasin de jouets Duncan, il lance l’opération Hohoho ». La maison vide de son oncle il s’y est réfugié après avoir été sur le point de se faire virer du palace new-yorkais devient un terrain de jeux géant pour mettre à l’amende des méchants bêtes à manger du foin. Brice Laemle Les Nouveaux Sauvages », de Damian Szifron 2014 La contravention de trop, un tout jeune marié infidèle, un conducteur riche et fanfaron, un harceleur surgi du passé… Ce film argentin raconte six histoires de folie – passagère et démesurée – déclenchée par un comportement ou un acte que les personnages ne parviennent pas à accepter. Ces hommes et ces femmes ordinaires vont ainsi basculer et se transformer en vengeurs acharnés, utilisant les moyens à leur portée – de la mort-aux-rats, un couteau, une voiture, un avion et même un cuisinier. C’est drôle l’ébouriffante mariée trompée, le meilleur des six sketches, délirant, glaçant, immoral et très réjouissant, certains de ces fantasmes de revanche nous ayant tous, un jour, traversé l’esprit. Loin d’en faire l’éloge, Les Nouveaux Sauvages interroge justement ce passage à l’acte d’autojustice, vu ici comme un dérapage dont personne n’est à l’abri. Valérie Lépine Un jour sans fin », d’Harold Ramis 1993 Phil Connors est vraiment un sale type. Lorsque le film commence, ce présentateur météo est farceur et pétillant devant les caméras. Mais, dès qu’elles s’éteignent, il se révèle imbu de lui-même et misanthrope. Celui qui se considère comme une star montante de la télévision peste contre le jour de la marmotte », une tradition qu’il doit suivre pour un reportage et qui le conduit dans la petite ville de Punxsutawney, en Pennsylvanie. Débutant comme la chronique hilarante de cette journée, le film bascule lorsque Phil Connors se retrouve bloqué dans une boucle temporelle. Il est condamné à revivre perpétuellement ce jour de la marmotte » dans une ville qu’il déteste et auprès de gens qu’il méprise. Piégé dans un purgatoire absurde, Phil Connors va retrouver son humanité au fur et à mesure que son existence perd tout sens. L’un des meilleurs rôles de Bill Murray, dans lequel sa puissance comique révèle aussi sa sensibilité à fleur de peau. Pierre Trouvé Joue-la comme Beckham », de Gurinder Chadha 2002 Le ballon rond, c’est sa passion. Jess Bhamra Parminder Nagra voue un culte à David Beckham. Elle n’aspire qu’à marquer des buts et à parcourir les stades en quête de victoire. Mais ses parents ne l’entendent pas de cette oreille eux qui ont émigré d’Inde pour rejoindre le Royaume-Uni considèrent que leur fille se doit de faire de brillantes études et veulent que sa sœur et elle fassent chacune un beau mariage. Quand Jules Keira Knightley lui propose de rejoindre une équipe féminine de football, Jess y voit une formidable occasion de s’épanouir… Eloge du multiculturalisme à l’anglaise, Joue-la comme Beckham confronte deux mondes qu’on croit au départ irréconciliables. Rythme enlevé, photographie haute en couleur, acteurs irrésistibles… Sous des allures de comédie simplette, le film est en fait une satire sociale exemplaire. On ne saurait que trop recommander cette pépite à la bande-son électrisante Atomic, de Blondie, Move on up, de Curtis Mayfield…. Alexis Duval Qui veut la peau de Roger Rabbit ? », de Robert Zemeckis 1988 Pour le face-à-face au piano entre Donald et Daffy. Pour les fouines, parce qu’elles ont du flair ». Pour la trempette et pour Jessica Rabbit et la voix sublime d’Amy Irving… Tout dans ce chef-d’œuvre de Robert Zemeckis tient du génie. Mais de quel genre s’agit-il ? Une comédie, un dessin animé, un polar ? C’est tout ça à la fois Eddie Valiant Bob Hoskins, un ancien flic avec un penchant pour le bourbon, tente de disculper Roger Rabbit, un lapin de dessin animé, accusé à tort du meurtre d’un magnat d’Hollywood… Rien ne préparait ce film noir tout en Technicolor à la réussite. Le script, adapté d’un roman de Gary K. Wolf de 1981, effrayait les studios. Il fallut que Steven Spielberg lui-même intercède auprès de Disney pour que le projet se lance. Quant aux contraintes techniques, elles étaient immenses. Contrairement à Mary Poppins, il fallait rendre les interactions entre les personnages humains et les toons » vraisemblables, ce qui voulait dire intégrer les toons » aux décors, aux lumières et mouvements de caméras. Gabriel Coutagne Shaun of the Dead », d’Edgar Wright 2004 Shaun of the Dead n’est pas un titre qui veut dire grand-chose. Pour comprendre le jeu de mots, il faut connaître la référence à Dawn of the Dead Zombie, en VF, de George A. Romero. L’association du nom du personnage, le très banal Shaun, et le titre de ce film de zombies cultissime annonce une parodie potache on y suit une invasion de morts-vivants du point de vue d’un vendeur d’électroménager. Avec son humour grinçant, ses gags sanguinolents et ses personnages loufoques, ce film britannique a redéfini le genre. Il a aussi propulsé sur le devant de la scène le duo comique Simon Pegg et Nick Frost, qui incarnent deux trentenaires immatures. C’est aussi ce film qui a révélé le talentueux réalisateur Edgar Wright Baby Driver, Scott Pilgrim, dont la signature est une mise en scène hypernerveuse doublée de références cinéphiles et musicales très pointues. Pierre Trouvé Cherchez la femme », de Sou Abadi 2017 Quand Mahmoud William Lebghil revient du Yémen, c’est un autre homme. Musulman modéré avant de s’y rendre, il a subi là-bas un endoctrinement sévère et tient désormais à faire respecter une pratique radicale de l’islam. Il s’oppose donc à la relation que sa sœur, Leila Camélia Jordana, entretient avec Armand Félix Moati, un étudiant fils d’opposants politiques iraniens qui ont trouvé refuge en France. Ce dernier, pour revoir sa petite amie confinée à domicile par son frère, a trouvé la parade revêtir le voile intégral et se faire passer… pour une femme. Avec un sujet aussi sensible, le risque était fort de se fourvoyer. Mais Cherchez la femme 2017, de Sou Abadi, avance sur un fil comique avec une grande délicatesse et rappelle, au détour de dialogues ciselés et parfois fort poétiques, que l’islam ne peut pas être réduit au fondamentalisme. Le trio d’acteurs, superbement dirigé, brille dans cette œuvre unique en son genre et d’une grande intelligence. Alexis Duval Looking for Eric », de Ken Loach 2009 Mais que ferait le King » Eric Cantona à votre place ? La vie d’un autre Eric – nommé Bishop, résidant à Manchester, dans le nord de l’Angleterre, et postier de son état – a du plomb dans l’aile. Sa deuxième femme l’a quitté, sa fille le méprise et ses beaux-fils adolescents s’épanouissent dans les petits trafics en tout genre. Malgré son entourage amical, il n’arrive pas à remonter la pente… Jusqu’au jour où, après avoir fumé un joint, il est pris d’hallucinations et son idole, l’attaquant légendaire du club de foot Manchester United, lui vient en aide jusqu’à devenir son coach. Ken Loach signe avec Looking for Eric un film joli et drôle, qui aura en plus l’avantage de réconforter un peu les adeptes du ballon rond en cette période de confinement généralisé. Aude Lasjaunias Little Miss Sunshine », de Jonathan Dayton et Valerie Faris 2006 On pense être chez les losers » des Etats-Unis, les Hoover, avec un père qui cherche la solution miracle pour être riche – et vous aidera à le devenir ou pas grâce à ses séminaires –, un fils taciturne, un oncle pas très bien dans sa peau, un grand-père qui s’est fait virer de sa maison de retraite parce qu’il prenait de la drogue… Les deux filles de la maison sont les seules à tenir la route la mère et la fille, Olive – c’est elle la Little Miss Sunshine ». Cette petite bande se lance dans un road-trip aussi réinventé qu’un kouign-amann à la farine de sarrasin, mais sans la lourdeur. Sorti en 2006, le film n’a rien perdu de sa fraîcheur, et encore moins de son message. Il y a de la légèreté, grâce à une écriture mi-drôle, mi-dramatique. Il y a aussi de la satire sociale, le tout emballé dans des gags finement dosés pour ne jamais quitter l’objectif du film faire une critique acérée de l’Amérique contemporaine, sur fond d’espoir et de situations délirantes. Pierre Breteau Rocky II la revanche », de Sylvester Stallone 1980 Gagne ! » Quand Adrian Talia Shire donne enfin son autorisation à Rocky Sylvester Stallone, son boxeur de mari, d’affronter une nouvelle fois Apollo Creed Carl Weathers et lui permettre ainsi de tenir sa revanche, commence l’une des séquences les plus emblématiques des films de sport l’entraînement. L’on voit ainsi un Rocky dans une casse automobile taper sur des carcasses ; un Rocky transpirant ou huilé, on ne sait pas trop en train de faire des abdominaux après avoir fait de la corde à sauter ; un Rocky en survêtement gris élimé courir après une poule autant de choses faisables dans un confinement à la campagne. Avant l’apothéose, sur la musique de Bill Conti Rocky en train de faire son footing, suivi par des dizaines d’enfants jusqu’à la montée des marches donnant sur la façade sud du Musée d’art de Philadelphie. Difficile de ne pas être motivée après ça. D’ailleurs, ces training montages » sont devenus une marque de fabrique de la série des Rocky six films en tout et de ses spin-off deux films mettant en scène Rocky et le fils d’Apollo Creed. Abel Mestre Nos meilleures années », de Marco Tullio Giordana 2003 Idéal pour italianophile confiné, ce film de presque six heures mais on en redemande, initialement écrit pour la télévision, était tellement fait pour le grand écran qu’il obtint le prix Un certain regard, au Festival de Cannes, l’année de sa sortie 2003. La saga autour de l’itinéraire de deux frères, Matteo et Nicola Carati, débute en 1966 et s’achève dans les années 1980. Nos meilleures années revisite une certaine histoire de l’Italie de ces années-là, des inondations de Florence, en 1966, à l’antipsychiatrie et aux Brigades rouges, en l’incarnant à travers le parcours et les amours de personnages attachants jusque dans leurs dérives, dont les visages et les manières restent gravés dans nos mémoires. Le principal thème musical, Oblivion, d’Astor Piazzola, ajoute du sublime au romantisme. Isabelle Rey-Lefebvre Le
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regarder 0140 The Sandman Will Keep You Awake - The Loop Looney Tunes Back in Action Film de Joe DANTE sorti en 2003. Actu[] USA[] Titre Rubrique Numéro et Page Auteurs Looney Tunes Back in action News & Brèves N°85 ; Page 97 N/R Looney Toons Back in action What's Up Doc N°96 ; Page 13 Doc' Olivier, Doc' Pierre, Doc' Hervé, Doc' Youli News DVD What's Up Doc N°99 ; Page 13 Doc' Olivier, Doc' Pierre, Doc' Youli, Doc' Hervé France[] Titre Rubrique Numéro et Page Auteurs Les Looney Tunes Passent à l'Action What's Up Doc N°97 ; Page 19 Doc' Olivier, Doc' Pierre, Doc' Laurent, Doc' Hervé, Doc' Youli Les succès de Noël What's Up Doc N°98 ; Page 16 Doc' Olivier, Doc' Pierre, Doc' Youli, Doc' Hervé Produits Dérivés[] Jeux Vidéo[] Les Looney Tunes passent à l'action GameCube, Playstation 2 - 2003[] Titre Rubrique Numéro et Page Auteurs GameFAQs Les Looney Tunes passent à l'action Jeux Vidéo News N°99 ; Page 95 Pa Ming CHIU Liens Externes[] Allociné Retour Index ; Retour L DoomPatrol: Created by Jeremy Carver. With Diane Guerrero, April Bowlby, Matt Bomer, Brendan Fraser. The adventures of an idealistic mad scientist and his field team of superpowered outcasts. Members Fans Likes Ratings Reviews Lists No one is a fan of this film
Lasérie met en scène les Looney Tunes quand ils étaient bébés.
Les Looney Tunes passent à l'action Séances News Bandes-annonces Casting Critiques spectateurs Critiques presse VOD Bande-annonce Séances 1 VOD Spectateurs 2,4 1603 notes dont 142 critiques noter de voirRédiger ma critique Synopsis Bugs Bunny travaille avec son collègue Daffy Duck pour la Warner. Mais le canard décide de partir, ne supportant plus le traitement de faveur réservé au lapin. Il est bientôt rejoint par Drake, un vigile apprenti-cascadeur licencié le même jour. Ce dernier découvre au même moment que son père disparu, ancienne star de cinéma, était un agent secret à la recherche du mythique Diamant du Singe Bleu et kidnappé par le sombre Mr. décide de reprendre la quête de son illustre paternel et de retrouver sa trace, aidé par Daffy. Convaincus de l'efficacité de son tandem avec Bugs Bunny, les dirigeants du studio décident alors de récupérer leur star animée coûte que coûte, et lancent Bugs Bunny et la jeune productrice Kate Houghton à leur poursuite, de l'enfer hollywoodien à la jungle africaine en passant par Paris, Las Vegas et la mystérieuse Zone 52... Regarder ce film Acheter ou louer sur CANAL VOD Orange Location dès 2,99 € PremiereMax Location dès 2,99 € HD Canal VOD Location dès 2,99 € VIVA Location dès 2,99 € HD Voir toutes les offres VODService proposé par Voir toutes les offres DVD BLU-RAY Séances Paris Bande-annonce 152 Interview, making-of et extrait 256 Dernières news 15 news sur ce film Acteurs et actrices Casting complet et équipe technique Critiques Presse Aden Cahiers du Cinéma Chronic' Le Monde Première Studio Magazine TéléCinéObs L'Express L'Humanité Le Figaroscope Les Inrockuptibles Libération Positif Télérama Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus. 16 articles de presse Critiques Spectateurs J’avais bien aimé Roger Rabbit et Space Jam oui je suis le seul, l’unique, le vrai, désolé pour Scary movie, puis comme tous j’adorais les Looney Tunes donc on suit. Alors si en plus on apprécie le héros de La Momie » ancienne version, donc Brendan Fraser qui fait de l’autodérision, on est obligé de plonger. Puis il n’est pas seul, le casting est énorme un James Bond, Batman et sa Batmobile, un Hellboy bouffé par Taz, ... Lire plus Au fil de sa carrière, Joe Dante a su gagner le cœur de nombreux cinéphiles en nous livrant des films qui ont marqué les esprits "Piranhas", "Hurlements", "L’ Aventure Intérieure", "Explorers", "Panic sur Florida Beach", "Small Soldiers" et son diptyque culte "Gremlins". Lorsque Warner lui demande de faire un film façon "Qui Veut la Peau de Roger Rabbit ?" à la gloire des personnages Looney Tunes, on est en droit de s’attendre à ... Lire plus Un délire comme on en voit rarement, ce film qui nous rappelle notre enfance est tout simplement irrésistible, le casting est formidable, les effets spéciaux sont géniaux, le scénario est ultra fun, l'ambiance est tout bonnement jouissive, bref que de bonheur à revoir nos chers amis animé ! Les Looney Tunes passent à l'action est en quelque sorte un remix de Roger Rabbit ou tout est différent. Et pourtant ça plait. Les célèbres personnages cartoon Bugs Bunny, Daffy Duck et d'autres prennent vie à l'écran avec des acteurs réels. Et les trucages sont très bien faits, on a vraiment l'impression qu'ils sont avec nous. Brendan Fraser est assez marrant et dynamique, Steve Martin plaira aux enfants, Jenna Elfman joue son rôle, ... Lire plus 142 Critiques Spectateurs Photos Secrets de tournage Quand les Toons se la jouent live... Les Looney Tunes passent à l'action n'est pas le premier film où personnages animés et humains se donnent la réplique. Parmi les quelques films du genre, on retiendra Qui veut la peau de Roger Rabbit ? 1988, Cool world 1994, Space Jam 1996, Les Aventures de Rocky et Bullwinkle 2000 ou Monkeybone 2001, sans oublier les classiques Mary Poppins 1964 et Peter et Elliot le dragon 1977. Brendan Fraser dans la peau de Taz... Héros humain des Looney Tunes passent à l'action, Brendan Fraser a participé doublement à l'aventure, en prêtant sa voix et ses grognements au diable de Tasmanie, Taz. Une première... Les Looney Tunes passent à l'action est le tout premier film dans lequel les Looney Tunes sont inclus dans un environnement entièrement réel tout au long du métrage. Ainsi, certaines scènes de Qui veut la peau de Roger Rabbit ? et la grande majorité des séquences de Space Jam mettaient bien évidemment en scène des humains en interaction avec les Toons, mais dans des univers animés Toonville pour le premier, le monde toonesque et le terrain de ba Lire plus 16 Secrets de tournage Infos techniques Nationalités Allemagne Distributeur Warner Bros. France Année de production 2003 Date de sortie DVD - Date de sortie Blu-ray - Date de sortie VOD 31/01/2016 Type de film Long-métrage Secrets de tournage 16 anecdotes Box Office France 710 798 entrées Budget 80 000 000 $ Langues Anglais Format production - Couleur Couleur Format audio - Format de projection - N° de Visa 109369 Si vous aimez ce film, vous pourriez aimer ... Commentaires
Themost recent update is a snapshot of the state’s water resources from August 31 through October 10. The update reveals that average statewide rainfall was 6.29 inches or 2.91 inches above average, making it the rainiest September since 1986. “The 2016 water year, which began in October 2015, and continued through September of this year en tout cas merci à sylvestre - pour toutes ces images ... j'espère que Bugs va pouvoir les utiliser pour faire des supers illustrations ou pourkoi pas des fonds d'écran ?? et - pour nous avoir un peu réveillé car le forum s'était un peu engourdi le froid sans doute .. uvEq. 285 109 230 135 119 113 29 228 278

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